jeudi 6 avril 2006

Le fabuleux destin Dada-Poulain

J'aime Albert Dupontel acteur. J'adore Albert Dupontel réalisateur. Même si Bernie, son premier opus, restera mon film-culte, Enfermés dehors c'est pas mal non plus. Un cartoon social comme il dit. Et j'ajoute : rock'n roll. Ou comment être à la fois au coeur du problème et en total décalage.

Or donc, après cette délicieuse séance, je me dirige vers la sortie de la salle obscure...et sur qui que je tombe, hein ? (attention, c'est une expression, je ne me suis ni vautrée, ni étalée, ni gamellée. Droite dans ses bottes la fille) (sauf que j'en porte pas) (je suis pas une va-nus-pieds non plus eh oh).

Mais d'abord, faut que je vous dise (en fait là, je vous parle en direct d'Hollywood, École du scénario, si si, j'ai un exercice à faire sur le suspense. Je crois que je suis douée...), Paris est une grande ville, on est tous d'accord (ça fait partie de la technique du suspense de sortir des banalités, alors venez pas vous plaindre, je respecte la procédure)...on en était où ?...gna gna gna...grande ville. Pas en superficie, je vous le concède, mais niveau population, qu'elle soit sédentaire ou nomade, ça grouille, ça fourmille, on en croise du monde (à part les prisonniers). Pour rencontrer quelqu'un de sa connaissance, faut avoir rencart.

C'est ce qu'on croit. Je m'en vais vous prouver l'inverse.

Car moi y a une personne que je vois surgir partout : boulevard de Charonne, dans les couloirs de Châtelet ou de Madeleine, et encore une fois hier soir dans le 13ème arrondissement...toujours la même, à croire que ♫ Destinés, nous étions tous les deux destinés ♫...Si c'est le cas, le Père Noël est vraiment une ordure, parce que merde, loin de moi l'idée d'être méprisante, mais on est trop mal assorti, je vous assure chacun de nous mérite mieux. Surtout moi (oh ça va, je plaisante).

Bien, à ce stade, tout le monde se fout de savoir de qui il s'agit. Mais je vous le dis quand même : le killer de hamster. Parfaitement.

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